Une happy end tout à fait dans la ligne de la réussite d'Obama redonne l'espoir dans cette famille qui se recompose progressivement.

À la fin du XVIIIe siècle, l’Afrique est un continent noble et sauvage. Entre Bamako et Tombouctou, Ségou est un royaume florissant ; les Bambaras, polythéistes et animistes, un peuple invincible. (.../...)

(.../...) La petite Maryse prend le chemin de la rébellion. La soif de connaissance, les rêves d'autonomie et de liberté la guident vers son destin d'écrivain. (.../...) Et Maryse se souvient alors de cet instant qui lui redonna l'amour des siens, de cette ultime nuit où...

"Il ne s’agit pas seulement d’une Guadeloupéenne tentant de découvrir son identité en Afrique. (.../...) La Vie sans fards est surtout la réflexion d’un être humain cherchant à se réaliser pleinement. Mon premier roman s’intitulait En attendant le bonheur : Heremakhonon, ce livre affirme : il finira par arriver." (Maryse CONDÉ)

Cuisinière au savoir-faire inoubliable, Victoire ne savait nommer ses plats et ne semblait pas s'en soucier. C'est avec une affection toute particulière que Maryse Condé brosse le portrait attachant de cette femme qui fut aussi sa grand-mère.

Pris dans la tourmente des événements, écartelés entre plusieurs croyances, les descendants de Dousika Traoré traversent des épreuves effroyables, mais y puisent la force d’accomplir des exploits merveilleux, même si leur sang doit rougir à jamais la terre de leurs ancêtres.

"Il ne s’agit pas seulement d’une Guadeloupéenne tentant de découvrir son identité en Afrique. (.../...) La Vie sans fards est surtout la réflexion d’un être humain cherchant à se réaliser pleinement. Mon premier roman s’intitulait En attendant le bonheur : Heremakhonon, ce livre affirme : il finira par arriver." (Maryse CONDÉ)

«Le docteur Ramzi An-Nawawî n'était pas un docteur comme les autres, un vulgaire guérisseur de maladies humaines. Sur un rythme haletant, Maryse Condé nous conduit d'énigme en rebondissement sur les pas d'un héros au destin à la fois burlesque et pathétique.

Babakar est médecin. Il vit seul avec ses souvenirs d’une enfance africaine, d’une mère aux yeux bleus qui vient le visiter en songe, d’un ancien amour, Azelia, disparue elle aussi, et autres rêves de jeunesse d’avant son exil en Guadeloupe, berceau de sa famille. Mais le hasard ou la providence place une enfant sur sa route et l’oblige à (.../...)

Ivan et Ivana naissent à Dos d’Ane, une bourgade de la Côte sous le vent en Guadeloupe. Autour d’eux ne se pressent que des femmes  : leur mère Simone, leur grand-mère Maeva, des belles-tantes, des belles-cousines et autour le souvenir de leur père (.../...) Maryse Condé nous raconte le destin d’Ivan et d’Ivana de Pointe à Pitre à Ségou au Mali, de Ségou à Paris.

Babakar est médecin. Il vit seul avec ses souvenirs d’une enfance africaine, d’une mère aux yeux bleus qui vient le visiter en songe, d’un ancien amour, Azelia, disparue elle aussi, et autres rêves de jeunesse d’avant son exil en Guadeloupe, berceau de sa famille. Mais le hasard ou la providence place une enfant sur sa route et l’oblige à (.../...)

«16 septembre 1989, 15h35. Attention, cyclone Hugo se dirige rapidement sur la Guadeloupe. Rejoignez les habitations ou les abris. Alerte 2 déclenchée ce jour à compter de 12 heures» !!!

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Maryse CONDE

Maryse Condé réhabilite Tituba et la ramène à son pays natal, la Barbade au temps des Nègres marrons et des premières révoltes d'esclaves.

«Le docteur Ramzi An-Nawawî n'était pas un docteur comme les autres, un vulgaire guérisseur de maladies humaines. Sur un rythme haletant, Maryse Condé nous conduit d'énigme en rebondissement sur les pas d'un héros au destin à la fois burlesque et pathétique.

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